La ruelle sombre et malsaine qui abrite les quelques commerces, cache encore dérisoirement les portes blindés et abimés par le temps des bars du cartel..
Malheureusement la foule et la fete ont laissé place au calme d'une place déserte...
Les bars sont désert, les fûts sont plein, les patrons ont les poches vides et ne parviennent plus à payer la mafia locale, qui ne tardera pas a rassembler ses gorilles pour imposer sa souvereneté..
Le gros gérard s'est fait la malle avec la caisse, plus d'échapatoire.. à moin qui les clients et les habitués ne reviennent consommer et animer les quelques bars en vidant régulierement deux ou trois grog...
Bien à vous.
Le patron du Nibar-BAR.